Premières expériences et engrenages : Chapitre 106 : Un gros biberon

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Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 105 : Change et changement
il y a 1 an

Chapitre 106 : Un gros biberon

Ladyscar me sourit.

Cette phrase n’était pas de moi. C’était une de celles qu’elle ressortait souvent en classe lorsqu’un de ses étudiants tombait dans le piège de ses exercices. Ce ne m’était jamais arrivé, je devais bien l’admettre, qu’importe ma modestie. J’avais d’autant plus apprécié sa philosophie que je n’y avais pas été personnellement affecté.

Je ne m’étendrais pas sur mon nettoyage, même si certains détails appréciables seraient par d’autres appréciés. J’essayai même d’en occulter la vision comme l’odeur, me concentrant sur la conversation, trop heureux d’avoir retrouvé une bouche et une gorge dégagée, même si je l’eusse préférée entièrement rincée. Je ne trouvai au début rien d’érotique à cette activité, même si les huit mains recouvertes de leurs gants de caoutchouc, se promenant sur mon corps, mes fesses et mon sexe libéré. Ce n’est que lorsque la propreté revint, que je retrouvais certaines envies dont mon sexe s’en arbora fièrement en porte-drapeau.

Cela leur a pris une bonne demi-heure de me remettre une nouvelle couche. Outre la minutie dont elles firent preuve, elles se plaisaient à manipuler mon corps, en particulier une fois leurs gants retirés. Je me laissai faire. Lingé, enduit de crème, talqué, tout propret, je restai allongé, attendant de nouveaux ordres.

C’est vrai qu’à ce moment-là, à nouveau, j’admettais qu’il était plaisant d’être entouré de quatre mamans. La différence avec les instants passés la couche sale était tellement flagrante que je comprenais presque l’état d’esprit d’un bébé dans les premiers mois qui suivait sa naissance.

Puis vint l’arrivée du biberon géant.

Elles ne l’avaient pas oublié. Tata Marguerite, en particulier, avait particulièrement insisté. Mon corps, m’avouant qu’il avait faim, ne rechigna pas à ce nouveau jeu presque reposant parachevant ce que j’avais vécu. Je n’avais rien mangé depuis la veille et je me jetai, pour le jeu, presque dessus quand il arriva à ma portée aux grands bonheurs de ces dames. Elles me prirent tour à tour sur leurs genoux pour me le donner, dégageant leur poitrine comme pour que mon esprit y corrélât les deux images. Il y avait deux litres à boire et je ne doutais pas, au vu des poitrines d’au moins trois d’entre-elles, qu’elles auraient eu la contenance d’en extraire ce volume.

Si au début cela me semblait facile, surtout qu’elles l’avaient parfumé à la fraise comme si elles avaient su, à cette époque, que cette boisson était une de mes préférées, la difficulté advint vers la fin, quand la quantité devenait le paramètre essentiel de ma mission.

Elles n’étaient cependant pas contentes de la tournure des événements. J’avais échappé à l’humiliation, avais causé des problèmes et maintenant j’étais récompensé. De plus, selon elles, boire le biberon dans leur donjon brisait l’enchantement échafaudé par l’environnement concerté et originel. Cela aurait dû se passer dans le jardin de Lucifer, sur un banc, visible de la route, malgré le froid. Maîtresse Diane regretta que nous n’eussions plus le temps de ressortir pour aller jouer dans un parc. Je fis une discrète prière de remerciement à Chronos. Je n’étais pas encore prêt pour le contact avec le monde extérieur. Quoique je subissais, l’humiliation m’était infiniment plus pénible que la douleur.

Alors que je finissais les derniers centilitres de lait parfumé, elle déplorait maintenant que nous ne soyons pas remontés au salon après mon change, un endroit plus convenable pour faire boire un bébé. Détournée de son organisation, de sa préparation, Maîtresse Diane paraissait soudainement bien fébrile, bien indécise, bien fragile.

Après qu’elles me firent faire plusieurs rôts, commentant mes bruits, m’humiliant à nouveau, nous remontâmes au rez-de-chaussée. Elles se dirigèrent vers la salle à manger où Ben, prévenant, leur avait dressé un repas sur le pouce. Je ne connaissais pas la suite du programme, mais voyons l’inquiétude de notre hôtesse, nous devions à nouveau être en retard. Elle ne cessait de regarder la pendule, me demandant tout aussi régulièrement si j’avais mouillé ma couche.

  • Il faut attendre un peu, lui rappela Tata Marguerite.

Ce n’est pas que je n’avais pas envie de pisser, mais je savais que plus tard j’attendrais, moins elles me laisseraient dans ma couche humide et sale et surtout que je n’aurai pas à y retourner. Le mieux aurait été, selon mes calculs, une bonne dizaine de minutes avant que les invitées n’arrivassent, mais je ne savais pas l’heure à laquelle cela correspondait.

Je ne portais qu’une couche et je commençai à ressentir le froid à attendre ainsi. Elles ne me proposèrent rien à me mettre sur le dos, convaincues que cela m’aiderait à vouloir me soulager. Il était quatorze heures. Il ne devait me rester que cinq heures avant que ce weekend ne se terminât enfin. Dommage ! me souffla Lassie, pas rassasiée.

  • A quelle heure doivent-elles arriver ? finis-je par demander.

L’impatience de mes maîtresses ayant déteint sur moi.

  • A quinze heures, me répondit Ladyscar à ma grande surprise.

  • En attendant ?

  • En attendant, nous devions jouer avec toi au bébé chez Lucifer, dit Lady Christine.

  • Vu que vous n’avez plus l’esprit à cela, si vous me parliez de la suite, espérai-je ainsi en apprendre plus sur ce qui serait probablement ma dernière épreuve.

  • Nous ne voudrions pas gâcher la surprise, dit Maîtresse Diane.

  • Alors parlez-moi de Maître Lucifer.

Mes dominatrices hésitèrent.

  • Il se manifesta dans ce monde il y a une vingtaine d’année, commença Tata Marguerite, comme on présenterait un film d’horreur. Il était rentier. Il avait hérité de sa famille, de ses parents à la suite d’un accident de voiture qui causa leur mort à tous deux. Au début, il avait sombré dans l’alcool, dans la drogue, dans le monde de la nuit et de la clandestinité. Puis il a commencé à inviter chez lui, à organiser des fêtes, finissant par devenir même des incontournables, où tout était permis, me décrit Tata.

  • Il a eu des spécialités par le passé, à la limite de ce qu’on pouvait découvrir dans la région, poursuivis Lady Christine. Il organisait des soirées vampire où l’on buvait du vrai sang humain. Il y avait aussi des séances de torture, mais les esclaves toujours inconnus du réseau masochiste ne revenaient jamais plus, même dans ses fêtes.

  • Il y a eu des rumeurs selon lesquelles il les faisait disparaître, les éliminait, ajouta Ladyscar. Il a été soupçonné aussi de séquestration ou de chantage, mais jamais réellement accusé. Il était riche et connaissait des personnes influentes et aucune plainte n’a tenu jusqu’à un procès.

  • Comme les jeux ont tous commencés avec des consentements signés des personnes, cela n’a jamais été plus loin. La police accusa même certains plaignants de chercher à gagner de l’argent sur le dos du milliardaire, finit Maîtresse Diane.

  • Il est vraiment milliardaire ?

  • Non, plus depuis que nous sommes passés à l’euro, corrigea Tata Marguerite. Son surnom vint de son héritage en francs, lorsqu’il avait dix-sept ans, au millénaire dernier.

  • Toutes ces histoires étaient vraies ?

  • Si tu estimais avoir été victime de malversation, me poursuivrais-tu pour de l’argent ?

  • Non, répondis-je instinctivement. Ce n’est pas monnayable, c’est intime.

  • Exactement, c’est ce qui fit douter les enquêteurs. En revanche, il allait souvent très loin, trop loin. Surtout quant il était plus jeune. Il s’est calmé avec l’âge, le défendit Tata Marguerite.

  • Vous avez déjà joué ensemble, affirmai-je.

  • Oui, me confirma Marguerite, comme prise au piège de ses déclarations. Il aimait toujours dépasser toutes les limites. Comme ces deux bébés. Leur dominatrice les médicamente, sans que nous puissions savoir si ils seraient d’accord.

  • Pourquoi m’y avoir emmené ?

  • D’abord, on ne refuse pas une de ses invitations, et puis, je crois, surtout par fierté, m’avoua Ladyscar. Lui et ses amis vieillissent. Si Basile et sa boîte de nuit se renouvelle, Lucifer et son cercle d’amis intimes ont une moyenne d’âge au-delà de la cinquantaine.

  • Comme vous, les taclai-je.

  • Un peu moins, réagit Maîtresse Diane. Si nous sommes globalement plus âgés, notre entourage reste jeune. Mes valets, Lydia, Lisa, les vendeuses, et maintenant toi et pourquoi pas tes deux étudiantes rajeunissent notre groupe, alors que la dernière adoption, datant déjà de trois ans, était ce jeune couple qu’il avait invité ce midi.

  • La jeune femme avait l’air mal à l’aise.

  • Je crois que c’était la première fois qu’ils jouaient à cette forme de domination ; elle est plus une soumise sexuelle. Je pense qu’il voulait se présenter à son avantage, dit Tata Marguerite.

  • Avec les vrais bébés, je crains qu’il cherchait plutôt à montrer que tu n’étais pas encore assez bien dressé, pas un vrai soumis, nous gâcher cette sortie, me dit Lady Christine, laissant paraître dans la voix qu’il avait réussi.

  • Me la gâcher, comme Basile ?

  • En quoi Basile voulait te gâcher ta soirée.

  • Pas la soirée, avouai-je. Il voulait me faire éjaculer de nombreuses fois hier, me vider pour que je ne puisse plus éjaculer cet après-midi. Ce serait en rapport avec un pari qu’il aurait fait avec vous, répétai-je, me tournant vers Ladyscar.

  • Et tu es resté pur ? me demanda-t-elle.

  • Non, avouai-je une partie de ma soirée. Mais je n’ai cédé qu’une fois peu avant six heures, me réservant pour ce que vous attendez de moi. Mais vos valets vous ont informées, n’est-ce pas ?

  • C’est bien, me félicita-t-elle. Je n’en attendais pas moins de toi.

  • Il m’aurait gardé un weekend, poursuivis-je devant l’approbation silencieuse de ma dominatrice. Pourquoi ? Que comptait-il me faire de plus qu’à cette soirée ?

  • Te convaincre de te mettre à son service plutôt qu’au mien. Par conviction, par la force, ou pire, dit Maîtresse Diane. Nous-mêmes sommes jalouses de Ladyscar, alors qu’elle appartient à notre groupe.

La discussion se poursuivait. Il était clair que je devais également me méfier autant de ces deux dominateurs malgré leur différence et surtout malgré l’impression que j’en ai eu au premier contact.

J’appris encore de nombreuses tortures plus inquisitrices que BDSM que pratiquait Maître Lucifer qui dégoûtait même Lassie, continuellement avide d’en apprendre plus. Des dominations perverses, des humiliations ultimes, l’art de briser les gens sous sa main et de les jeter quand ils n’avaient plus de résistance à lui opposer. Car c’était avant tout le jeu qu’il cherchait et la victoire, en particulier si le défi était relevé.

Un réflexe incontrôlable me prit soudain, entre le rôt et le hoquet, qui relâcha ma vessie. Je vis, aux visages de mes quatre dominatrices, qu’aucune d’elle n’avait manqué la gêne me prenant en me pissant dessus, dans ma couche, devant elles. J’en vins presque à comprendre que quelqu’un, de plus attiré que moi pour ce type de domination, pouvait ressentir en cet instant qui semblait durer presque deux litres.

C’était une sorte de nouvelle intimité dévoilée, alors que pourtant la couche me couvrait les parties sexuelles. Plus gênante encore que de paraître nu !

Cela fit rire Lady Christine qui conclut à Maîtresse Diane.

  • Tu vois qu’on va pouvoir le nettoyer avant qu’ils n’arrivent.
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